Cette semaine, un accord a été signé entre France Judo et son président, Stéphane Nomis, et McDonald’s France, en la personne d’Amélie Duclos « chief people officer » de la chaîne de fast-food américaine dans notre pays.

Quels sont les objectifs de cet accord ? Pour McDonald’s France, il s’agira de garantir une mise en relation simplifiée entre les enseignants de judo — licenciés, diplômés et titulaires d’une carte professionnelle — et les restaurants sous enseigne. Ces professeurs, à temps partiel, pourront bénéficier d’un temps partiel au sein d’un restaurant de la marque, avec des horaires flexibles et adaptés à leurs contraintes avec un système de « plages de planification possible ». De même McDonald’s s’engage à relayer auprès des clubs de proximité leurs besoins de recrutement et à mettre à leur disposition différents moyens de communication.

Ainsi, Amélie Duclos explique que « ce rapprochement marque une étape importante dans notre engagement en faveur du sport et de l’insertion professionnelle. En tant qu’entreprise responsable, nous sommes convaincus que le Judo véhicule des valeurs essentielles telles que le dépassement de soi, le respect de l’autre et la solidarité, qui sont aussi les nôtres. C’est pourquoi nous avons souhaité soutenir les enseignants de Judo en leur offrant de nouvelles perspectives d’emploi. »

De son côté, Stéphane Nomis explique « qu’il est difficile actuellement pour un professeur de judo de ne vivre que de sa passion. Cette charte d’engagement avec McDonald’s France va permettre d’améliorer leurs conditions de travail en leur offrant un accès facilité à des emplois complémentaires qui viendront renforcer leurs revenus. Soutenir et accompagner nos acteurs demeure pour nous une priorité fondamentale sur cette olympiade et cet engagement avec McDonald’s France en constitue une première étape. »