Consciente de la chance de pouvoir combattre en compétition dans le contexte actuel, Marie-Ève Gahié ne boudait pas son plaisir au sortir d’une journée qu’elle avait parfaitement entamée, avant de se faire surprendre en demi-finale par la Néerlandaise Sanne Van Dijke, que Margaux Pinot allait battre derrière en finale. Repartie au front pour la place de trois, elle ne repart pas bredouille de Prague. Et c’est là tout l’essentiel pour l’athlète du PSG Judo.