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La réaction de Teddy Riner, champion du monde des +100kg :
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La réaction de Julia Tolofua, vice championne du monde des +78kg :
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18h20. +100kg : Teddy… winner !
Quel spectacle ! Quel combat ! Cette dernière rencontre de l’épreuve individuelle fut tout simplement exceptionnelle ! Un mano a mano entre Teddy Riner et le Russe Inal Tasoev qui se conclut par un sumi-gaeshi après 3’41 dans le golden score et un waza-ari qui offre au Français son onzième titre de champion du monde. Un combat tendu mais ouvert, sous tension avec de très fortes attaques. Un duel où la lucidité de Riner aura été encore absolument remarquable, comme ce fut le cas tout au long de cette journée. Tasoev, comme Odkhuu, comme Saito, fut marqué par la puissance du Français qui usa tous ses adversaires du jour, pourtant des cadors de la catégorie. Affûté et parfaitement préparé physiquement, Riner a réussi à faire craquer tout ce qui se présentait à lui ce samedi.
Un frisson parcourit pourtant le clan français au début de la troisième minute du golden score lorsque Tasoev contra Riner. Mais aucun aza-ari ne fut donné, l’arbitre espagnol Raul Camacho estimant que le Russe s’était jeté sur le dos pour faire tourner le Tricolore sur sa barre d’épaules.
Une victoire qui fait entrer encore un peu plus Riner dans la légende. Ce soir la France repasse deuxième nation avec deux titres, trois médailles d’argent et deux médailles de bronze. La Géorgie est troisième.
Quel finish !
17h40. +78kg : Tolofua, ce sera l’argent
Plus de six minutes de golden score et finalement une troisième pénalité pour non-combativité qui tombe contre Julia Tolofua. Soutenue à fond par le public français en nombre ici à Doha, Julia Tolofua aura sans doute des regrets sur cette finale. Ses deux tentatives d’uchi-mata et singulièrement la première avaient mis en vrai danger la championne olympique nipponne. Mais intraitable au kumikata avec sa main gauche au col et à l’intérieur, Sone en aura fait un peu plus que la Tricolore avec ses tentatives, même timides, de mouvements d’épaule et un ashi-guruma lancé sur place.
Sone est désormais double championne du monde. Julia Tolofua, elle, est double médaillée mondiale : bronze en 2022, argent 2023. Une régularité dans la très haute performance qui fait d’elle, plus que jamais, une prétendante à la titularisation olympique après une journée où sa concurrente – et amie – Romane Dicko est passée à côté.
En bronze, la Brésilienne Beatriz Souza qui place une nouvelle fois un magnifique o-soto-gari, cette fois-ci à la Coréenne Kim, et l’Israélienne Raz Hershko qui montera sur le podium grâce à un sode-tsuri-komi-goshi valorisé waza-ari contre la Chinoise Xu.
14h35. Ce qui vous attend à 17h
+78kg
Finale
Julia TOLOFUA (FRA)/Akira SONE (JPN)
Combats pour le bronze
Raz HERSHKO (ISR)/Shiyan XU (CHN)
Hayun KIM (KOR)/Beatriz SOUZA (BRA)
+100kg
Teddy RINER (FRA)/Inal TASOEV (RUS)
Combats pour le bronze
Temur RAKHIMOV (TJK)/Rafael SILVA (BRA)
Kokoro KAGEURA (JPN)/Alisher YUSUPOV (UZB)
14h30. +78kg : Tolofua défiera Sone !
En bronze l’année dernière, Julia Tolofua est d’ores et déjà sûr de faire mieux cette année puisque la voilà en finale des championnats du monde. Cela aura été dur contre la Chinoise Shiyan Xu dans un combat en trois temps : une domination de la Française les deux premières minutes qui voit son adversaire être pénalisée deux fois. Puis, un temps fort de Xu avec ses tentatives d’ippon-seoi-nage à droite. La combattante de l’Empire du Milieu, coaché par le Français Jean-Pierre Millon, n’est d’ailleurs pas loin de marquer. Et un troisième temps, qui voit Tolofua lancer un uchi-mata qui déroule Xu légèrement sur la tranche.
La combattante de l’Étoile sportive Blanc-Mesnil Judo combattra donc pour l’or, face à la redoutable Japonaise Akira Sone. Celle-ci marque rapidement, lors de l’autre demi-finale, sur sa nouvelle arme technique : un ippon-seoi-nage que la Coréenne Kim ne peut contrer. Un avantage que la Nipponne conserve sans être vraiment inquiétée. Une Sone très solide depuis ce matin. Il faudra un exploit en finale mais Julia Tolofua montre depuis ce matin qu’elle a de la ressource.
14h10. +100kg : Teddy Riner est en finale !
Vingt-huit secondes de combat seulement et voilà Teddy Riner en finale de ces championnats du monde ! Une seule séquence de combat aura suffit pour le Français : un harai-goshi d’une amplitude stratosphérique et Temur Rakhimov s’envolait sans pouvoir se rattraper aux branches.
Le Français est en final et ça sera contre le Russe Inal Tasoev qui n’a besoin que de trente-deux secondes pour placer un tani-otoshi/uki-waza à l’Ouzbek Alisher Yusupov. Quelle finale nous attend vers 17h45 !
13h45. +78kg : Tolofua impressionne
Le o-soto-gari en reprise de garde est superbe ! Dans son quart de finale face à la Brésilienne Beatriz Souza, Julia Tolofua aura su attendre le moment T. Menant deux shidos à un, elle profite d’un appui fort sur la jambe droite de la Carioca pour lancer ce mouvement vers l’arrière qui fait mouche.
Létale depuis ce matin, Julia Tolofua, qui battit nettement la Néerlandaise Marit Kamps avec un o-uchi-gari après seulement dix-neuf secondes de combat, semble survoltée. En demi-finale, la médaillée de bronze à Paris devra battre la Chinoise Shiyan Xu pour s’offrir le droit de rêver à un titre mondial.
13h45. +100kg : Riner fait craquer Saito
Bluffant. Alors qu’il avait déjà bataillé et fait craquer le Mongol Odkhuu au tour précédent, Teddy Riner a cette fois-ci éteint Tatsuru Saito après 3’45 de golden score. Pourtant c’est ce dernier qui se sera montré le plus dangereux avec un o-uchi-gari en bordure pas loin de marquer ! Il y aura aussi un uchi-mata qui déséquilibrera le décuple champion du monde. Mais Riner, aujourd’hui, ne lâche rien. Avec sa puissance et son kumikata il use, use, et use encore ses adversaires. Par deux fois Tatsuru Saito s’écroule au sol. Une fois de trop, synonyme d’une troisième pénalité fatale, lui qui avait déjà un shido au compteur.
Teddy Riner est en demi-finale, particulièrement affûté et clairement prêt à des combats longs et âpres. La demi-finale sera contre le Tadjik Temur Rhakimov, superbe d’anticipation contre Kokoro Kageura : esquive de morote-seoi-nage à gauche puis repositionnement pour un juji-gatame parfait.
13h15. +78kg : Sone sereine
Face à l’Israélienne Raz Hershko, Sone aura su attendre son heure. La première minute, la nièce de Shany Hershko attaque tout azimut avec ses sode-tsuri-komi-goshi. Mais, la fatigue venant, cette volonté d’être toujours la première se transforme peu à peu en fausses attaques. Patiente, la championne olympique laisse passer l’orage avant de placer un tai-otoshi d’école et de suivre en immobilisation. Très tranquille, Sone est en demi-finale. Et, pour l’instant, on ne voit pas bien qui pourrait l’arrêter.
13h00. +100kg : Riner retrouvera Saito en quart de finale
Dieu que ce fut dur et stressant. Pas tant à cause des attaques du Mongol Odkhuu, qui furent inexistantes, mais plutôt à cause du scénario d’un combat à rallonge et les incertitudes qui vont avec. Toujours aussi prudent, le Français était dominant au kumikata et dans l’attitude mais ne prenait de gros risques d’attaque. Si le décalage des pénalités était fait, le compteur allait afficher deux shidos partout lorsqu’au golden score Riner lançait un sumi-gaeshi mais avec les pieds hors de la surface de combat.
Le Français cherchait de l’air… mais Odkhuu encore plus ! Totalement carbonisé ce combattant passé par l’université de Tenri, se montrait à peine capable de tenir sur ses jambes. Troisième shido logique contre lui. Voilà Teddy Riner en quart de finale où il affrontera Tatsuru Saito qui piégeait au sol Guram Tushishvili. Un troisième gaucher consécutif pour le double champion olympique individuel tricolore, à l’attitude sereine et qui aura passé peu de temps, jusque-là sur le tatami.
Dans cette catégorie, la première demi-finale opposera Alisher Yusupov à Inal Tasoev, tombeur du champion du monde en titre, le Cubain Andy Granda, sur un magnifique hiza-guruma.
12h40. +78kg : Tolofua tranquille
Face à la Vénézuélienne AmaranthaUrdaneta, Julia Tolofua n’aura pas eu à puiser dans ses réserves. Sa puissance, le fait d’être la première au niveau des initiatives, et les pénalités tombaient mécaniquement. Une victoire et voilà la médaillée mondiale 2022 au prochain tour, face à la Néerlandaise Marit Kamps, cinquième à Tbilissi et septième à Paris cette année. Dans cette catégorie, Raz Hershko et Akira Sone se montrent à leur aise.
12h30. +78kg : Dicko, la douche froide !
Énorme mauvaise surprise il y a quelques minutes avec l’élimination de Romane Docko, championne du monde en titre, battue d’un waza-ari par l’Italienne Asya Tavano.
Un combat dont on sentait, dès le début, qu’il pourrait bien jouer un mauvais tour à la Française. Si elle était sur l’initiative dès le départ avec son harai makikomi, l’Italienne esquivait bien, ne se laissant pas embarquer.
Plus le combat avançait, et plus les choses s’équilibraient, même si la Frnaçaise eut l’occasion de marquer sur un osae-komi pas tenu le temps des dix secondes. Toutes les deux fatiguées, c’est pourtant Tavano qui, à trente secondes de la fin, arrivait à placer un o-uchi-gari ken ken à la Tricolore. Waza-ari ! Un avantage que la Transalpine arrivait à garder malgré les deux fortes attaques de la Française.
11h50. +100kg : Riner/Odkhuu en huitième de finale
Clairment gêné par le profil de son adversaire polonais, un grand gaucher aux mouvement d’épaule, Teddy Riner se montre une nouvelle fois prudent. À tel point que les attaques, même maladroites, sont pour Kapcer Szczurowski. Mais ce dernier va s’éliminer lui-même en deux séquences : une première où il s’écroule tout seul, la seconde en plaçant sa main gauche sous la ceinture du décuple champion du monde. Avec un shido pris par les deux judokas au début du combat, cela fait trois. Un peu de soulagement avec un huitième de finale qui s’annonce corsé contre le Mongol T.Odkhuu, facile vainqueur de son combat avec deux o-uchi-gari.
Dans le bas du quart de tableau de Riner, Tatsuru Saito dispose facilement du combattant angolais Piter Da Silva.
11h30. +100kg : Kageura plus frais que Bashaev
Dans ce combat en forme de revanche de la finale des championnats du monde 2021 à Budapest, pas de surprise. Loin de son niveau physique optimal, Tamerlan Bashaev subit les mouvements d’épaule de Kokoro Kageura. Encore et encore. Les pénalités tombent, inévitablement, jusqu’à la troisième. Un combat remporté donc par le Japonais, face à un Russe qui a fait ce qu’il a pu avec les moyens du bord. Une rencontre qui aurait pu promettre beaucoup entre deux combattants au nombreux points communs : le gabarit, le judo et le fait d’avoir tous les deux battus Teddy Riner : au Grand Chelem de Paris 2020 pour Kageura, aux Jeux olympiques pour Bashaev.
Dans cette catégorie, le champion du monde cubain, Andy Granda se qualifie facilement pour la suite.
11h00. +100kg : Riner très sérieux
Le body langage du décuple champion du monde ne trompe pas : concentré, prudent, appliqué. Avare d’émotions, Teddy Riner s’est appliqué à ne pas faire de fautes, pour son entrée en lice, face au Roumain Vladut Simionescu. Un combat verrouillé. Un puis deux shidos partout. Mais vers la fin de la troisième minute Riner en position d’uchi-mata changeait d’angle astucieusement pour placer un hiza-guruma imparable. Propre. Prochain tour contre le Polonais Kapcer Szczurowski, vingt-six ans, centième mondial.
10h40. +100kg. Bashaev dans la difficulté
Comme on le voit depuis le début de la semaine, les combats russes – hormis Arman Adamian – sont rapidement dans le dur physiquement. La faute à une préparation inexistante, eux qui ont été prévenus une semaine avant le début de la compétition de leur participation. Et Tamerlan Bashaev, médaillé olympique de Tokyo, n’échappe pas à l’analyse. Face à l’Allemand Jonas Shreiber, le petit lutin surpuissant du club Edelweiss Grozny et d’origine tchétchène peine, mais réussit à placer un sode-tsuri-komi-goshi à son adversaire. Prochain tour aux allures de bloc final puisque Bashaev retrouvera Kokoro Kageura, le Japonais champion du monde 2021. Un duel alléchant.
10h30. L’heure du feu d’artifice?
Du haut des trois derniers Français en lice à Doha, ce sont dix-huit médailles olympiques et mondiales, dont treize en or, qui nous contemplent. Combien s’en ajouteront ce samedi? La balle est dans le camp de Romane Dicko (+78kg, PSG Judo), Julia Tolofua (+78kg, ES Blanc-Mesnil) et Teddy Riner (+100kg, PSG Judo).
Que suggèrent les tableaux de nos Français du jour ?
Six mois après son triomphe à Tashkent, Romane Dicko va tenter, non pas de défendre son titre mondial, mais d’aller en chercher un nouveau. Cette saison, la Parisienne a remporté le Masters et a terminé en bronze aux Grands Chelems de Paris et Antalya. Deux fois où elle est battue par la Turque Kayra Sayit. Jusque-là, seules les Japonaises et la Cubaine Ortiz avait trouvé la faille. Ce samedi, Dicko peut – et sans aucun doute veut – remettre toutes les pendules à l’heure. Y compris vis-à-vis d’Akira Sone, la championne olympique nippone, lors de la finale rêvée de cette catégorie.
Mais il faudra pour cela d’abord passer plusieurs obstacles : sans doute l’Italienne Asya Tavano, vingt-deuxième mondiale, septième aux Grands Chelems d’Abou Dhabi et Tashkent cette saison et qui sort des juniors. Puis la Kazakhstanaise Kamila Berlikash, cinquième au Grand Prix du Portugal. Deux adversaires totalement dans les cordes de la Tricolore. En quart de finale, c’est la Chinoise Shiyan Xu, en argent au Grand Chelem de Tashkent et en bronze à Tbilissi, qui se profile. Une combattante que la Française avait battue pour le bronze à Antalya sur un joli ko-uchi-gari.
Et en demi-finale ? On pourrait parier sur la Brésilienne Beatriz Souza, défaite par Dicko en finale des championnats du monde il y a six mois. Mais, surtout, sur Julia Tolofua (ES Blanc-Mesnil Judo). Pour un remake de Tashkent en octobre dernier ? La Corse n’est sortie qu’une fois cette saison, pour une troisième place à Paris. Dans quel état de forme sera celle qui reste sur une très belle médaille de bronze mondiale ? On le saura assez vite. Pas forcément avec son premier tour, face à la Vénézuélienne Amarantha Urdaneta, dont les derniers podiums ont été obtenus sur des opens panaméricains. Mais plus sûrement avec son huitième de finale, où la Française pourrait retrouver ou la jeune Turque Hilal Ozturk, cinquième à Paris et en bronze à Tashkent et Antalya au printemps, ou la Néerlandaise Marit Kamps, septième aux mondiaux 2022. Le quart de finale devrait être en toute logique contre la Brésilienne Souza, tête de série n°4.
Une catégorie des +78kg où la France possède, avec Dicko et Tolofua, deux vraies chances de titre mondial. L’adversaire n°1 pour contrecarrer cette perspective radieuse ? La Japonaise Sone bien sûr. Championne olympique et victorieuse du Grand Chelem de Tokyo, la judokate de l’entreprise Park 24 a connu la défaite cette saison, ce qui ne lui était plus arrivé depuis le Grand Chelem de Paris en… 2019. La faute à Coralie Haymé, une autre Française, qui sera alignée lors du par équipes ! Sone souhaitera remettre l’église au milieu du village. C’est une certitude. Le duel franco/nippon sera passionnant !
Depuis 2017 et le combo Budapest (+100kg)/Marrakech (Open), Teddy Riner n’a plus participé à des championnats du monde individuels. Ce samedi, le voilà de retour. Vainqueur à Paris début février, la légende française revient à la conquête d’un onzième titre planétaire dans une catégorie où il sera l’incontestable vedette. Un événement que le judoka du PSG Judo appréhende également comme un test, une répétition générale avant ce qui reste son objectif principal et unique : Paris 2024.
Une évaluation de grande envergure, difficile mais qui sera forcément riche d’enseignements. Pourquoi ? Parce que les forces en présence, ce samedi, seront parmi ce qui se fait de mieux au monde : deux Japonais, avec Kokoro Kageura et Tatsuru Saito ; deux Russes avec Tamerlan Bashaev et Inal Tasoev, le surprenant Cubain Andy Granda, champion du monde en titre; l’Ouzbek Alisher Yusupov, que Riner avait battu à Paris mais dont le profil – petit, gaucher, fort arracheur – peut gêner le colosse français ; le Mongol Tsetsentsengel Odkhuu, étudiant qui s’entraîne encore à l’université de Tenri, vainqueur à Tel Aviv cette saison et à Paris l’année dernière. Peut-on du coup estimer que cette catégorie des +100kg n’a jamais été aussi dense que ce samedi ? Risquons l’hypothèse.
Placé dans le deuxième quart de tableau, Riner entrera en lice dès le premier tour face au Roumain Vladut Simionescu, septième aux Grands Chelems de Tokyo et d’Antalya. Un monceau que le Français a battu trois fois en autant de confrontations, la dernière remontant au Grand Prix du Canada 2019. De quoi huiler idéalement la mécanique pour les tours suivants, avec une rencontre à venir contre le Polonais Kapcer Szczurowski, vingt-six ans, centième mondial et troisième de l’open d’Italie en mars. En huitième de finale, Riner devrait retrouver Odkhuu, avant un quart de finale possible ou contre le jeune Japonais Tatsuru Saito, vice champion du monde 2022, ou le Géorgien Guram Tushishvili, l’un de ses plus féroces adversaires.
Un parcours âpre, escarpé et piégeux pour le décuple champion du monde. Compétiteur dans l’âme, champion exceptionnel, Teddy Riner va pouvoir se situer très précisément. Et on est déjà très excité à l’idée de voir cela.
10h00. Ce qu’il faut retenir des six premiers jours de compétition
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