3 septembre 2017 – Budapest (Hongrie)
Épreuve par équipes mixtes

18h30 / 6-0, jeu, set et match Japon
Le combat de cette première finale mondiale mixte, entre le Brésil et le Japon, donnait le ton. À ma gauche, Tsukasa Yoshida, vice championne du monde des 57kg mercredi. À ma droite, la championne du monde et olympique Rafaela Silva. Pour un dénouement dans le golden score que les deux combattantes entamaient chacune avec deux shido : après un premier passage en osae-komi dont réchappait l’élève de Flavio Canto, Yoshida  retournait au sol quelques secondes plus tard. 1-0 pour le Japon puis bientôt 2-0 grâce au champion du monde Hashimoto (waza-ari sur morote inversé) vainqueur, sous les « Ike Ike Hashimoto », du Brésilien Contini, révélé cette année avec une finale à Ekaterinbourg et une victoire à Cancun. Derrière, c’était tout aussi solide avec la championne du monde des -70kg Chimizu Arai. Face à la guerrière Maria Portela, elle l’emportait seulement grâce à une deuxième pénalité dans le golden score. Un troisième point à défaut d’un combat éclatant. C’est aussi aux pénalités que cèdera le Brésilien Penalber face à Nagasawa. À 4-0, le titre était acquis, sans effusion dans le camp japonais. Mais Sarah Asahina, volée en finale individuelle hier, mettait quand même son sasae pour deux waza-ari, le deuxième enchaîné en ne-waza pour ippon. Et c’est un duel Ojitani-Silva qui venait conclure ces championnats du monde. Pénalisés tous les deux dans un combat morne, c’est sur makikomi que le Japonais plantait le lourd brésilien. 6-0. Histoire de rappeler que, si les Nippons « calmés » après trois premiers jours de folie, douze médailles dont sept titres au final, préparent minutieusement les JO 2020 où l’or par équipes sera clairement un objectif.

16h45 / La France en bronze, Dicko décisive
Si elle n’effacera pas les déceptions individuelles, cette médaille de bronze par équipes permet à cette à la France de terminer sur une bonne note, que ces combattant(e)s sont allés chercher. C’est Hélène Receveaux, désormais médaillée européenne et mondiale, qui lançait parfaitement l’équipe avec deux waza-ari face à Anastasia Konkina et son uchi-mata, la Russe victorieuse de deux Grand Prix en 2016, deux fois finaliste aussi des Europe -23 ans en 2014 et 2015, mais qui tapait pour le compte sur un uchi-mata de la Française qui gardait son bras droit pour lui placer juji-gatame. Receveaux était relayée par Benjamin Axus opposé à Zelimkhan Ozdoev, ancien champion d’Europe -23 ans des -73kg, médaillé au Grand Chelem de Paris… 2012. Le Français attaquait dès la première prise de garde avec son uchi-mata, puis feintait la même attaque sur l’avant quelques secondes plus tard pour revenir en o-uchi-gari. Waza-ari suivi en osae-komi pour ippon en une minute et trente secondes. 2-0, avec la manière, l’entrée en matière parfaite. Marie-Eve Gahié, 5e en individuels en -70kg, était sur le même rythme face à Maltseva, une combattante de 24 ans, finaliste du Grand Chelem de Tyumen en 2016. Dès la première saisie, elle lançait et, si l’action ne donnait rien, elle donnait le ton de ce qui allait suivre : un premier waza-ari sur uki-waza finalement retiré quelques secondes plus tard, avant un ko-soto-gake compté waza-ari (cela valait peut-être le ippon), de quoi défendre intelligemment son avantage et garder son adversaire au sol dans les dernières secondes pour passer la main à Axel Clerget avec un 3-0 au tableau d’affichage pour la France. Contré sur son attaque vers l’arrière, le vice champion d’Europe des -90kg prenait à nouveau waza-ari, mais ne lâchait pas le combat et marquait à son tour sur o-uchi-gari contre le prodige russe Igolnikov, champion d’Europe cadets et juniors et médaillé mondial juniors 2014. Un combat sérieux, mais pas suffisant pour l’emporter… C’était donc potentiellement à la benjamine de l’équipe de France, Romane Dicko, d’apporter le point décisif. Elle démarrait fort avec son harai pour waza-ari après quinze secondes contre Anna Guschina et, si son inexpérience lui faisait concéder un waza-ari sur ko-uchi-gari, elle replaçait son super mouvement de hanche pour ippon. 4-1 et la médaille de bronze pour les Bleus. Cyrille Maret, grand frère bienveilllant de cette équipe de France, même pour du beurre, n’avait pas l’intention de céder au lourd Andrey Volkov (30 ans), aligné à la place de Saidov. Sans prendre beaucoup de risques, il allait jusqu’au golden score, et alors que le Russe, peu actif, tentait uki-waza, Maret restait dessus et tenait l’immobilisation vingt pour ippon. Cette équipe s’est offert un joli podium ce soir.

16h / Place de trois – les compositions des équipes française et russe :

15h50 / Les trois derniers combats du jour (par ordre chronologique):


Combats pour le bronze
France / Russie
Canada / Corée du Sud

Finale
Japon / Brésil

15h45 / Place à l’Azerbaïdjan en 2018. Le passage de témoin a été symboliquement effectué entre le président de la fédération hongroise et le vice-président de la fédération azerbaïdjanaise par la remise du drapeau de la fédération internationale.

14h05 / Demi-finales – Le Japon et le Brésil sortent vainqueurs. Avec deux champions et deux vice-champions du monde sur sa feuille de match, les Japonais se présentaient lourdement armés contre la Corée du Sud. Ce qui n’empêchait pas Hye Jin Jeong de surprendre la nouvelle reine des -70kg Chizuru Arai sur un okuri-ashi-barai peu de temps avant le terme, ramenant son pays à 2-1 après les succès initiaux de Tsukasa Yoshida, d’un waza-ari sur ippon-ko-uchi-gari, et de Soichi Hashimoto, sur un ura-nage parti du sol suite au seoi à genoux de An Changrim. Kenta Nagasawa relançait la machine japonaise contre Lee Jaeyong, d’un waza-ari sur uchi-mata à gauche avec les deux mains du même côté, avant que Sarah Asahina, médaillée d’argent hier, ne piège au sol, après un coup de patte bien suivi, Kim Minjeong, sur la troisième marche du podium il y a vingt-quatre heures. Enfin, dans son style caractéristique, Ojitani avançait d’entrée sur Won, qui réagissait à l’approche du bord du tapis pour tomber dans le piège nippon et s’envoler sur son sasae. Score final : 5-1 pour le Japon. Soit une victoire de plus que le Brésil, opposé à la Russie, par l’intermédiaire de Rafaela Silva, qui montrait la voie sur ko-uchi-gake contre Konkina (waza-ari), du champion panaméricain des -73kg Eduardo Barbosa et de Maria Portela au bout de longs golden score, et enfin de la lourde Altheman après que Victor Peñalber se soit envolé sur le uchi-mata d’Igolnikov.

13h25 / La France et le Canada à un combat du bronze. Surprise sur le o-uchi-gari de la jeune Allemande Amélie Stoll, Priscilla Gneto ne parvenait pas à inverser la tendance et laissait filer le premier point de ces repêchages. Dans la foulée, Igor Wandtke, vainqueur de la coupe européenne de Celje en mai, enchaînait parfaitement sur Axus, l’envoyant d’abord au tapis sur makikomi avant de l’étrangler en hadaka-jime peu avant la dernière minute de combat. Clarisse Agbegnenou réduisait l’écart en dominant de deux waza-ari Lisa Dollinger, 103e mondiale des -70kg, dont le second sur o-soto-gari en contre du seoi à genoux de la jeune Allemande. Comme au tour précédent, c’est Axel Clerget qui avait pour tâche de ramener les deux équipes à égalité. Rapidement mené après avoir été surpris sur le ko-uchi-gari d’Odenthal, le Sucycien revenait à hauteur en contre d’uchi-mata. Nouveau golden score pour lui, qu’il remportait cette fois au bout d’une minute d’un waza-ari sur yoko-tomoe-nage. Deux victoires de chaque côté, avant que la balance ne penche du côté français suite au succès de Romane Dicko sur Jasmin Kuelbs, qu’elle coffrait au sol après son harai-goshi. Cyrille Maret, impeccable jusque-là, n’avait plus qu’une « simple » mission : ne pas perdre sur ippon contre Peters. Concentré sur les mains à chaque reprise de garde, il faisait même mieux que ça en faisant grimper les shido sur le tableau allemand, jusqu’à hansokumake en début de golden score. La France s’invite ainsi en place de trois, tout comme le Canada, victorieux des trois combats féminins et du duel masculin des légers entre Lasha Giunashvili, un ton en-dessous, et Arthur Margelidon.

12h50 / La composition de l’équipe de France en repêchages contre l’Allemagne : 

12h40 / Le programme des demi-finales et des repêchages:


Demi-finales
Japon – Corée du Sud
Russie – Brésil

Repêchages
Allemagne – France
Géorgie – Canada

12h35 / La Russie et le Brésil pour une place en finale. Lancé par le uchi-mata sukashi de Konkina, la Russie aura marché sur la Géorgie, à l’image du uchi-mata de Renat Saidov en dix-neuf secondes sur Guram Tushishvili, l’un des principaux animateurs d’hier en +100kg. Victoire 5-1 pour la Russie, tout comme pour le Brésil dans le duel nord-américain du quatrième quart de tableau, pourtant mené 1-0 après la victoire de Klimkait contre la championne olympique Rafaela Silva d’un seoi pour waza-ari en début de combat.

12h30 / Quarts de finale – Direction les repêchages pour la France… Face à Kwon, en or à Paris en février, Gneto était la première à s’illustrer en doublant son sode à droite d’un o-soto-gari à gauche qui aurait pu lui valoir ippon. Derrière, Kwon repassait devant, sur o-soto-gari puis ko-uchi-gari, offrant finalement le premier point à la Corée. Derrière, Pierre Duprat, encaissait deux waza-ari, sur ko-uchi-gari et sur seoi, sans être jamais en mesure d’inquiéter le désormais double médaillé de bronze planétaire. 2-0 pour la Corée, avec trois points d’avance étant donné que tous les waza-ari comptent en cas d’égalité. Marie-Eve Gahié remettait alors la France dans le bon sens, marquant d’abord un premier waza-ari su o-soto-gari avant de renverser en force Seongyeon Kim, en or à Paris, pour l’immobiliser en tate-shio-gatame. Le quatrième point était alors mis en jeu entre Axel Clerget et Donghan Gwak, champion du monde en 2015, médaillé de bronze aux Jeux l’an passé et à nouveau troisième il y a deux jours. Un duel gaucher-droitier qui allait jouer les prolongations, l’arbitre ayant vite sanctionner par deux fois les deux protagonistes qui ne se livraient pas. En jambes, le Français tentait bien, par ses coup de patte, de déstabiliser l’Asiatique, ailleurs pendant quelques séquences après un coup reçu à l’œil droit mais pas pénalisé pour autant. La pause pour saignement du tricolore le remettait alors en scène et, sur un uchi-mata que Clerget tentait de surpasser en grimpant sur le dos adverse pour s’engager en ne-waza, Gwak tournait le volant à toute vitesse pour le plaquer sur les deux épaules. Rageant pour le vice champion d’Europe, qui laissait filer la Corée à trois victoires. Romane Dicko subissait derrière la loi Minjeong Kim, en bronze en individuels, qui l’immobilisait après un o-soto-gari en bordure après avoir auparavant scoré deux autre waza-ari. Le ippon de uchi-mata de Cyrille Maret ne  changera rien à l’issue de ce combat en six rounds, remporté 4-2 par les Sud-Coréens.

11h55 / Quarts de finale – Le Japon à sa main. Finaliste en individuels, Tsukasa Yoshida (-57kg) ne faisait qu’une bouchée de son adversaire, piquée sur uchi-mata avant de subir le juji-gatame nippon. Sebastian Seidl réalisait ensuite l’exploit de vaincre Riki Nakaya, d’un seoi-nage bien enroulé après six minutes de combat. Saki Niizoe dominait alors Szaundra Diedrich avec son ashi-guruma, tout comme Kenta Nagasawa face à Marc Odenthal et Sarah Asahina contre Jasmin Kuelbs, après avoir enchaîné en immobilisation. Pour du beurre, Hisayoshi Harasawa, incapable de marquer sur Heinle, se contentait d’une victoire aux pénalités.

11h50 / La composition frnaçaise avant son quart de finale : 

11h45 / Le programme des quarts de finale :
Japon – Allemagne
France – Corée du Sud
Russie – Géorgie
Brésil – Canada

11h40 / La Russie et le Brésil au rendez-vous des quarts. La Russie n’aura eu besoin que de quatre combats pour disposer des Pays-Bas, portée par ses doublures Daria Mezhetckaia, Uali Kurzhev, Alena Prokopenko et Mikhail Igolnikov. Pas de problème non plus pour le Brésil, qui prenait rapidement la tête grâce au tani-otoshi de la championne olympique Rafaela Silva, aux uchi-mata de Marcelo Contini et d’Eduardo Bettoni, et à l’immobilisation de Maria Portela. Seul David Moura, vice champion du monde hier derrière Riner, lâchait un point en manquant son sutemi et en se retrouvant sous Sarnacki qui sauvait l’honneur polonais.

11h15 / La France élimine la Hongrie avec solidité. Première à en découdre, Hélène Receveaux se faisait d’abord dominer par Hedvig Karakas, qui marquait coup sur coup deux waza-ari sur sumi-gaeshi puis sur de-ashi-barai. L’Orléanaise ne renonçait pas et, d’une hanche forte, parvenait à faire tomber à genoux la Hongroise, avec son bras déjà coffré. Quelques secondes plus tard, le juji-gatame était en place et Karakas abandonnait. 1-0 pour la France. Avantage de courte durée puisque Benjamin Axus se faisait derrière piéger au sol par le vétéran Miklos Ungvari. Clarisse Agbegnenou redonnait ensuite l’avantage à la France en à peine plus de trente secondes suite à son o-soto-gari. Débarquaient alors sur le tatami le Niçois Loïc Pietri, seulement aligné sur ce par équipes, et Krisztian Toth, cinquième il y a deux jours. Grosse baston de kumikata des deux hommes, avertis une fois chacun avant l’entame de la dernière minute. Le Hongrois continuait de tracter avec un bras droit allant chercher loin dans le dos, mais ses mouvements de hanche ne piégeaient pas le champion du monde 2013. Place au golden score, lors duquel Toth enchaînaient en vain deux seoi à genoux, avant que Pietri ne tente de placer son mouvement d’épaule inversé. Plus puissant du haut du corps, Toth faisait finalement plier Pietri au bout d’1’30 de golden score, qui recevait un deuxième shido, synonyme de défaite. Dommage que l’arbitre n’ait pas laissé les deux hommes continuer de s’expliquer… Bilan des courses : 2-2 après quatre combats, mais avantage pour la France grâce à ses deux succès par ippon. Entrait alors en scène Romane Dicko, le phénomène de dix-sept ans, championne d’Europe juniors l’été dernier avant de remporter les championnats de France seniors. Contre Szigetvari, c’est elle qui se mettait la première en action, d’un harai-goshi en bordure pour un premier waza-ari. De l’autre côté du tapis, elle en inscrivait ensuite un second, avant de contrôler la fin de combat avec deux pénalités à son encontre. Ne reste plus qu’à boucler l’affaire pour Cyrille Maret, opposé à Miklos Cirjenics, battu d’entrée la veille par le futur champion du monde Aaron Wolf. Une grosse minute de passée qu’il plaçait un o-uchi-gari qu’il accompagnait puissamment de son bras droit pour empêcher le Magyar de s’en réchapper d’une vrille. Un gros cri de rage en direction du banc tricolore qui laisse échapper toute la frustration accumulée depuis son revers prématuré de la veille. 4-2 pour une équipe de France appliquée, qui sort la Hongrie de la course à la médaille qui se voit proposer la Corée du Sud, victorieuse 4-2 de la Grande-Bretagne malgré les victoires de Conway et Fletcher, en quarts de finale.

10h40 / Début du deuxième tour – Le Japon sans souci, la Géorgie et l’Allemagne grâce à leurs masculins. Malgré sa formidable performance globale en individuels, et le premier pion de la journée pour sa championne du monde Sumiya Dorjsuren (-57kg), la Mongolie ne verra pas le podium par équipes. La faute à une Allemagne solide chez les garçons, avec notamment le magnifique uchi-mata de Marc Odenthal sur Gantulga et le ashi-guruma pour conclure en lourds de Dimitri Peters. C’est également grâce à ses trois hommes (Guniashvili en -73kg, Tchrikrishvili en -90kg et Okruashvili en lourds), que la Géorgie s’impose face à la Croatie, au nombre de points (3 victoires partout, 30/21).
De son côté, le Japon se lance tranquillement avec une équipe de non titulaires assez décapante. Champions du monde par le passé, Udaka Nae (-57kg) et Riki Nakaya (-73kg) apportaient les deux premiers points à leur nation, imités derrière par Saki Niizoe, victorieuse du dernier Grand Chelem de Tokyo, au sol. Seul Kenta Nagasawa, en or en Russie au mois de mai, était battu d’un shido au golden socre par Quedjau Nhabali , chamion du monde juniors à Paris en 2009, avant qu’Akira Sone ne s’impose au sol et que Takeshi Ojitani, pas au mieux hier, ne domine Gordienko d’un seoi à genoux.
Enfin, malgré le scotch sur sasae de l’ogre Daniel Natea sur Kyle Reyes, c’est bien le Canada des Zupancic, Beauchemin-Pinard, Margelidon et Portuondo Isasi, qui passe avec quatre victoires au compteur. Au tour de la France de rentrer en scène contre le pays hôte, avec la composition suivante:

10h / Fin du premier tour – La Mongolie et la Chine out, la Hongrie pour la France. Dix équipes avaient hérité d’un premier tour dans ce tableau à vingt-et-une équipes. Première en action, la Corée du Sud s’imposait facilement contre la Turquie, à seulement quatre combattants et sans Kayra Sayit, pour un 6-0 net et sans bavure. Même score sans appel pour la Hongrie face au Kazakhstan, qui retrouvera donc l’équipe de France au deuxième tour. L’Ukraine laisse de son côté échapper un point à l’Algérie, sur hansokumake dans le combat des lourdes.
Plus serré, le duel entre Cuba et la Russie a d’abord vu les Européens être menés 2-1 après les succès étriqués de Magdiel Estrada (-73kg) et Maylin Del Toro Carvajal (-70kg). Derière, Mikhail Igolnikov (-90kg) ramenaient les deux équipes à égalité sur uchi-mata, avant que les lourds Anna Gushchina et Andrey Volkov ne donnent un peu de relief à la victoire russe. Les voilà désormais opposés aux Pays-Bas.
Enfin, c’est la Pologne qui domine la Chine, là aussi par 4-2, son lourd Maciej Sarnacki, cinquième des derniers championnats d’Europe, s’imposant finalement contre son adversaire sur ko-soto-gari.