Samedi 14 juin 2025 — Papp László Budapest Sportaréna (Hongrie)
-52kg F et -66kg M
– Pensez à rafraîchir régulièrement la page pour mettre votre direct à jour —
Retrouvez nos analyses de ces championnats du monde 2025 en écoutant la nouvelle série « Les best sont à Budapest » de notre podcast Hajime.
19h00. -66kg : la faucheuse Takeoka passe à l’or !
Vaincu il y a un an en finale par Ryoma Tanaka, Takeshi Takeoka était clairement en mission aujourd’hui, et il l’a menée à bien d’un subtil balayage de la jambe avancée de Nurali Emomali, avec confusion sautée vers l’avant au préalable, qui lui offrait un yuko suffisant pour se voir désigné vainqueur par l’arbitre au gong final. Contenant sa joie dans sa premier temps, il se fendait tout de même d’une furtive démonstration de son bonheur en montrant les muscles en sortie de tapis. Quatrième dossard rouge qui change d’épaules en deux jours, et déjà trois titres pour le Japon, qui prend nettement les devants au classement des médailles. D’ores et déjà irrémédiable?
Vaincu il y a un an en finale par Ryoma Tanaka, Takeshi Takeoka était clairement en mission aujourd’hui, et il l’a menée à bien d’un subtil balayage de la jambe avancée de Nurali Emomali, avec confusion sautée vers l’avant au préalable, qui lui offrait un yuko suffisant pour se voir désigné vainqueur par l’arbitre au gong final. Contenant sa joie dans sa premier temps, il se fendait tout de même d’une furtive démonstration de son bonheur en montrant les muscles en sortie de tapis. Quatrième dossard rouge qui change d’épaules en deux jours, et déjà trois titres pour le Japon, qui prend nettement les devants au classement des médailles. D’ores et déjà irrémédiable?
18h50. -66kg : Hifumi Abe redécouvre le bronze
S’il n’était là que pour conquérir une cinquième couronne à l’instar de sa soeur, le double champion olympique n’aura pas laissé sa chance à la surprise Orlando Polanco, jamais vainqueur des championnats panaméricains. Son o-uchi-gari surpassait la tentative de contre du Cubain, sanctionné à deux reprises auparavant. Pas de quoi décrocher le moindre sourire à l’aîné, qui prenait tout son temps pour saluer les quatre coins dans la salle avant de quitter le tatami. Comme en 2019, il sera sur la troisième marche du podium, avec un compatriote mieux classé que lui. Joshiro Maruyama s’était imposé à l’époque, qu’en sera-t-il pour Takeshi Takeoka, opposé dans quelques instants à Nurali Emomali?
S’il n’était là que pour conquérir une cinquième couronne à l’instar de sa soeur, le double champion olympique n’aura pas laissé sa chance à la surprise Orlando Polanco, jamais vainqueur des championnats panaméricains. Son o-uchi-gari surpassait la tentative de contre du Cubain, sanctionné à deux reprises auparavant. Pas de quoi décrocher le moindre sourire à l’aîné, qui prenait tout son temps pour saluer les quatre coins dans la salle avant de quitter le tatami. Comme en 2019, il sera sur la troisième marche du podium, avec un compatriote mieux classé que lui. Joshiro Maruyama s’était imposé à l’époque, qu’en sera-t-il pour Takeshi Takeoka, opposé dans quelques instants à Nurali Emomali?
18h40. -66kg : Khyar au pied du podium
Pour sa quatrième finale planétaire en quatre ans (Jeux olympiques 2024, championnats du monde 2021, 2023 et 2025), le Français, dont la régularité au plus niveau est remarquable, avait fort à faire face au tombeur de l’idole Hifumi Abe, le Tadjik Dzhebov qu’il avait dominé lors de leur seul affrontement en en mars 2024 lors du Grand Chelem d’Antalya. Un souvenir qui lui aura malheureusement été fatal aujourd’hui puisqu’il tentait de reproduire la même action en se glissant dans le dos du quatrième mondial pour chercher le coup dur. Sauf que, cette fois, c’est Dzhebov qui conservait le contrôle jusqu’au bout pour un premier waza-ari. Au pied du mur, le Parisien repartait vaillamment au front, cherchant à monter fort son bras droit pour enflammer la dernière minute de combat. Son sumi-gaeshi latéral n’était pas loin d’être récompensé, et lui donnait encore de l’espoir… jusqu’à ce que Dzhebov ne glisse sous sa saisie haute pour s’enrouler autour de son bras et boucler l’affaire.
18h30. -52kg : Uta Abe, évidemment !
Dix ans après sa victoire aux mondiaux juniors, la Kosovare, devenue depuis championne olympique des -48kg à Tokyo, puis médaillée d’argent à Paris dans la catégorie supérieure, avait le droit à sa première finale mondiale seniors ce samedi à Budapest. Une récompense qu’il fallait encore parvenir à convertir contre une habituée de ce rendez-vous ultime, la Japonaise Uta Abe, déjà sacrée en 2018, 2019, 2022 et 2023 et toujours invaincue après vingt-quatre combats en championnats du monde. Incisive à la saisie, elle parvenait à plusieurs reprises à monter son bras droit, comme Amandine Buchard en huitième de finale, osant même plus volontiers que la Française pour tenter de déstabiliser la Nippone de vingt-quatre ans. Mais cette dernière ne se laissait jamais enfermer dans l’étau surpuissant de la championne d’Europe, prompte à s’en sortir d’une petite attaque astucieuse. À l’entame de la dernière minute, c’est Abe qui appuyait subitement sur l’accélérateur, déclenchant un morote-seoi-nage supersonique qui envoyait Krasniqi sur les deux épaules. La reine, c’est bel et bien elle ! Cinquième titre pour Abe, qui se rapproche à toute vitesse des six triomphes de Clarisse Agbegnenou et de la Belge Ingrid Bermhans.
Dix ans après sa victoire aux mondiaux juniors, la Kosovare, devenue depuis championne olympique des -48kg à Tokyo, puis médaillée d’argent à Paris dans la catégorie supérieure, avait le droit à sa première finale mondiale seniors ce samedi à Budapest. Une récompense qu’il fallait encore parvenir à convertir contre une habituée de ce rendez-vous ultime, la Japonaise Uta Abe, déjà sacrée en 2018, 2019, 2022 et 2023 et toujours invaincue après vingt-quatre combats en championnats du monde. Incisive à la saisie, elle parvenait à plusieurs reprises à monter son bras droit, comme Amandine Buchard en huitième de finale, osant même plus volontiers que la Française pour tenter de déstabiliser la Nippone de vingt-quatre ans. Mais cette dernière ne se laissait jamais enfermer dans l’étau surpuissant de la championne d’Europe, prompte à s’en sortir d’une petite attaque astucieuse. À l’entame de la dernière minute, c’est Abe qui appuyait subitement sur l’accélérateur, déclenchant un morote-seoi-nage supersonique qui envoyait Krasniqi sur les deux épaules. La reine, c’est bel et bien elle ! Cinquième titre pour Abe, qui se rapproche à toute vitesse des six triomphes de Clarisse Agbegnenou et de la Belge Ingrid Bermhans.
18h20. Ballhaus comme l’an passé !
Le duel entre l’Allemande, victorieuse du Grand Chelem du Kazakhstan il y a un mois, et la Japonaise Kisumi Omori, en or de son côté au Grand Chelem de Paris en février, aura été d’une très belle facture. Deux combattantes dynamiques qui se rendaient coup pour coup pendant plus de six minutes de combat, avant que Mascha Ballhaus ne force la décision sur un arraché de face imparable pour la Nippone. Deuxième médaille de bronze consécutive pour la soeur jumelle de la championne d’Europe des -57kg Seija, que l’on imagine remontée à bloc à la veille de son entrée en lice.
Le duel entre l’Allemande, victorieuse du Grand Chelem du Kazakhstan il y a un mois, et la Japonaise Kisumi Omori, en or de son côté au Grand Chelem de Paris en février, aura été d’une très belle facture. Deux combattantes dynamiques qui se rendaient coup pour coup pendant plus de six minutes de combat, avant que Mascha Ballhaus ne force la décision sur un arraché de face imparable pour la Nippone. Deuxième médaille de bronze consécutive pour la soeur jumelle de la championne d’Europe des -57kg Seija, que l’on imagine remontée à bloc à la veille de son entrée en lice.
18h10. Gyertyas fait chavirer de bonheur la Papp László Budapest Sportaréna
Deuxième Hongroise de la catégorie derrière Reka Pupp, cinquième des deux dernières éditions et finalement septième ce samedi après une deuxième défaite en repêchages contre la Japonaise Kisumi Omori, Roza Gyertyas, de plus en plus régulière ces derniers mois avec notamment trois cinquièmes places en Grand Chelem et lors des championnats d’Europe cette année, n’y est pas allée par quatre chemins. Avant même la mi-combat, elle faisait parler son allonge sur uchi-mata avant d’enchaîner en immobilisation pour priver l’Espagnole Ariane Toro Soler du podium. Compteur débloqué pour le pays hôte !
Deuxième Hongroise de la catégorie derrière Reka Pupp, cinquième des deux dernières éditions et finalement septième ce samedi après une deuxième défaite en repêchages contre la Japonaise Kisumi Omori, Roza Gyertyas, de plus en plus régulière ces derniers mois avec notamment trois cinquièmes places en Grand Chelem et lors des championnats d’Europe cette année, n’y est pas allée par quatre chemins. Avant même la mi-combat, elle faisait parler son allonge sur uchi-mata avant d’enchaîner en immobilisation pour priver l’Espagnole Ariane Toro Soler du podium. Compteur débloqué pour le pays hôte !
15h55. Ce qui vous attend à partir de 18h lors du bloc finalFéminines
-52kg
Finale
Uta ABE (JPN) – Distria KRASNIQI (KOS)Combats pour le bronze
Roza GYERTAS (HUN) – Ariane TORO SOLER (ESP)
Kisumi OMORI (JPN) – Mascha BALLHAUS (GER)
-52kg
Finale
Uta ABE (JPN) – Distria KRASNIQI (KOS)Combats pour le bronze
Roza GYERTAS (HUN) – Ariane TORO SOLER (ESP)
Kisumi OMORI (JPN) – Mascha BALLHAUS (GER)
Masculins
-66kg
Finale
Takeshi TAKEOKA (JPN) – Nurali EMOMALI (TJK)Combats pour le bronze
Walide KHYAR (FRA) – Obid DZHEBOV (TJK)
Hifumi ABE (JPN) – Orlando POLANCO (CUB)
-66kg
Finale
Takeshi TAKEOKA (JPN) – Nurali EMOMALI (TJK)Combats pour le bronze
Walide KHYAR (FRA) – Obid DZHEBOV (TJK)
Hifumi ABE (JPN) – Orlando POLANCO (CUB)
15h45. -52kg : une finale Abe/Krasniqi attendue
Très motivée après son échec des JO de Paris, Uta Abe semble inarrêtable ce samedi. En demi-finale, il ne lui faut que quarante-cinq secondes pour administrer un sode-tsuri-komi-goshi parfait à l’Allemande Mascha Ballhaus, qui en souriait, tant la facilité de la Nipponne fut insolente. La Japonaise de 24 ans seulement deviendra-t-elle quintuple championne du monde tout à l’heure ? Il faudra pour cela battre l’inusable kosovare Distria Krasniqi, qui n’a fait qu’une bouchée de l’Espagnole Ariane Toro Soler. Trop puissante, la vice-championne olympique 2024 a fait plier rapidement autant qu’elle a douché les espoirs de son adversaire. Abe/Krasniqi ? Trois rencontres, pour autant de victoires au bénéfice de la Nippone. La dernière a eu lieu en demi-finale des mondiaux 2023.
Très motivée après son échec des JO de Paris, Uta Abe semble inarrêtable ce samedi. En demi-finale, il ne lui faut que quarante-cinq secondes pour administrer un sode-tsuri-komi-goshi parfait à l’Allemande Mascha Ballhaus, qui en souriait, tant la facilité de la Nipponne fut insolente. La Japonaise de 24 ans seulement deviendra-t-elle quintuple championne du monde tout à l’heure ? Il faudra pour cela battre l’inusable kosovare Distria Krasniqi, qui n’a fait qu’une bouchée de l’Espagnole Ariane Toro Soler. Trop puissante, la vice-championne olympique 2024 a fait plier rapidement autant qu’elle a douché les espoirs de son adversaire. Abe/Krasniqi ? Trois rencontres, pour autant de victoires au bénéfice de la Nippone. La dernière a eu lieu en demi-finale des mondiaux 2023.
15h30. -66kg : Khyar se donne le droit à un nouveau podium mondial
Après 2023, 2025 ? L’hypothèse est tout cas désormais officielle pour Walide Khyar qui a battu, dominé, et bien géré le combattant émirati d’origine mongole. Un yoko-guruma rapidement marqué, du temps précieux gagné en ne-waza, une distance gardée face aux tentatives d’uchi-mata et voilà le judoka du PSG Judo qualifié pour le bloc final. Il y rencontrera, quoi qu’il arrive, un combattant tadjik, Obid Dzhebov, le tombeur d’Hifumi Abe. Dans cette catégorie, Takeshi Takeoka ne laisse que cinquante-trois secondes de répit au Cubain Orlando Polanco, surprenant demi-finaliste – il a battu le Russe Murad Chopanov sur un tai-otoshi parfait, pour lui administrer un seoi-otoshi parfait à droite. Du grand art.
Après 2023, 2025 ? L’hypothèse est tout cas désormais officielle pour Walide Khyar qui a battu, dominé, et bien géré le combattant émirati d’origine mongole. Un yoko-guruma rapidement marqué, du temps précieux gagné en ne-waza, une distance gardée face aux tentatives d’uchi-mata et voilà le judoka du PSG Judo qualifié pour le bloc final. Il y rencontrera, quoi qu’il arrive, un combattant tadjik, Obid Dzhebov, le tombeur d’Hifumi Abe. Dans cette catégorie, Takeshi Takeoka ne laisse que cinquante-trois secondes de répit au Cubain Orlando Polanco, surprenant demi-finaliste – il a battu le Russe Murad Chopanov sur un tai-otoshi parfait, pour lui administrer un seoi-otoshi parfait à droite. Du grand art.
15h10. -66kg : la défaite d’Hifumi Abe !
Ce sera l’une des moments inoubliables de ces championnats du monde. Invaincu sur une compétition individuelle internationale depuis sa demi-finale mondiale 2019 contre Joshiro Maruyama, Hifumi Abe, le golden boy nippon de la catégorie, vient de tomber de son piédestal ! Le double champion olympique et quadruple champion du monde subit un uchi-mata-sukashi de toute beauté, administré par le Tadjik Obid Dhzebov, en argent au Grand Chelem de Douchanbé et en bronze aux championnats d’Asie fin avril. Un mouvement incroyable d’amplitude et une victoire toute en joie contenue pour ce combattant de 27 ans qui réalise possiblement le plus gros exploit de cet événement hongrois.
14h50. -66kg : Takeoka plus fort que Khyar
Un ko-soto-gake fatal. Tel pourrait être le titre de l’article relatant ce quart de finale entre Walide Khyar et Takeshi Takeoka. Agressif comme à son habitude, le Français cherchait à mettre la pression sur le vice champion du monde 2024. Mais celui-ci, qui sait varier son kumikata, cherchait tantôt la distance, tantôt rentrait dans l’espace du Tricolore. Une première tentative très forte fera mouche avec un ko-uchi-gake à droite qui plaquait Khyar sur la tranche. Yuko. Et quelques séquences plus tard, le Japonais plaçait exactement la même attaque pour, cette fois-ci, un ippon. Direction les repêchages contre l’Émirati Narmandakh Bayanmunkh, le tombeur de Daikii Bouba ce matin.
Ce sera l’une des moments inoubliables de ces championnats du monde. Invaincu sur une compétition individuelle internationale depuis sa demi-finale mondiale 2019 contre Joshiro Maruyama, Hifumi Abe, le golden boy nippon de la catégorie, vient de tomber de son piédestal ! Le double champion olympique et quadruple champion du monde subit un uchi-mata-sukashi de toute beauté, administré par le Tadjik Obid Dhzebov, en argent au Grand Chelem de Douchanbé et en bronze aux championnats d’Asie fin avril. Un mouvement incroyable d’amplitude et une victoire toute en joie contenue pour ce combattant de 27 ans qui réalise possiblement le plus gros exploit de cet événement hongrois.
14h50. -66kg : Takeoka plus fort que Khyar
Un ko-soto-gake fatal. Tel pourrait être le titre de l’article relatant ce quart de finale entre Walide Khyar et Takeshi Takeoka. Agressif comme à son habitude, le Français cherchait à mettre la pression sur le vice champion du monde 2024. Mais celui-ci, qui sait varier son kumikata, cherchait tantôt la distance, tantôt rentrait dans l’espace du Tricolore. Une première tentative très forte fera mouche avec un ko-uchi-gake à droite qui plaquait Khyar sur la tranche. Yuko. Et quelques séquences plus tard, le Japonais plaçait exactement la même attaque pour, cette fois-ci, un ippon. Direction les repêchages contre l’Émirati Narmandakh Bayanmunkh, le tombeur de Daikii Bouba ce matin.
14h45. Le direct est de retour !
Comme vous avez été nombreux à le constater le site ww.judotv.com a connu un dysfonctionnement de presque une heure. Un temps durant lequel les téléspectateurs français ont manqué le duel entre Amandine Buchard et Uta Abe. Un affrontement au sommet qui a tourné, une nouvelle fois, en faveur de la Nippone. Un affrontement dur, impactant, mais où Abe se sera toujours montrée la plus dangereuse. Un shido pris jusqu’avant les quatre minutes réglementaires, un second au début du golden score pour fausse attaque puis un troisième sur accrochage de la jambe sur une très forte attaque de hanche de la combattante de l’entreprise Park 24. Élimination pour Amandine Buchard.
Comme vous avez été nombreux à le constater le site ww.judotv.com a connu un dysfonctionnement de presque une heure. Un temps durant lequel les téléspectateurs français ont manqué le duel entre Amandine Buchard et Uta Abe. Un affrontement au sommet qui a tourné, une nouvelle fois, en faveur de la Nippone. Un affrontement dur, impactant, mais où Abe se sera toujours montrée la plus dangereuse. Un shido pris jusqu’avant les quatre minutes réglementaires, un second au début du golden score pour fausse attaque puis un troisième sur accrochage de la jambe sur une très forte attaque de hanche de la combattante de l’entreprise Park 24. Élimination pour Amandine Buchard.
13h10. Buchard/Abe, on y va tout droit !
À son aise pour dégager sa jambe et immobiliser en tate-shiho-gatame l’Indonésienne Maharani, la Française était rejointe peu de temps après par sa rivale nippone, victorieuse en une grosse minute – sur un uchi-mata très pur – de la Chypriote Asvesta.
13h00. -66kg : Bouba sorti sans gloire…
Avec son nouveau statut de champion d’Europe, il y avait forcément de l’attente derrière Daikii Bouba, aux prises avec l’Émirati né Mongol Narmandakh Bayanmunkh, médaillé de bronze au Grand Chelem de Paris 2024. Malheureusement, ce n’était pas la virevoltante partition de Podgorica que jouait le Français, trop rarement en rythme pour imposer son schéma d’attaque. Le décalage de pénalités en sa défaveur, il devait sortir de sa torpeur, ce qui faillit suffire à le faire passer ce tour sur un sasae en tout début de golden score. La pointe de l’épaule de Bayanmunkh échouait à quelques centimètres du tatami, et le combat pouvait continuer… Jusqu’à ce contre sur une demi-attaque qui l’envoyait directement aux vestiaires.
À son aise pour dégager sa jambe et immobiliser en tate-shiho-gatame l’Indonésienne Maharani, la Française était rejointe peu de temps après par sa rivale nippone, victorieuse en une grosse minute – sur un uchi-mata très pur – de la Chypriote Asvesta.
13h00. -66kg : Bouba sorti sans gloire…
Avec son nouveau statut de champion d’Europe, il y avait forcément de l’attente derrière Daikii Bouba, aux prises avec l’Émirati né Mongol Narmandakh Bayanmunkh, médaillé de bronze au Grand Chelem de Paris 2024. Malheureusement, ce n’était pas la virevoltante partition de Podgorica que jouait le Français, trop rarement en rythme pour imposer son schéma d’attaque. Le décalage de pénalités en sa défaveur, il devait sortir de sa torpeur, ce qui faillit suffire à le faire passer ce tour sur un sasae en tout début de golden score. La pointe de l’épaule de Bayanmunkh échouait à quelques centimètres du tatami, et le combat pouvait continuer… Jusqu’à ce contre sur une demi-attaque qui l’envoyait directement aux vestiaires.
12h45. -52kg : Pas de souci pour Krasniqi
Arrivée en bordure avec son opposante brésilienne Jessia Pereira, la Kosovare Distria Krasniqi, qui n’a jamais atteint la finale mondiale jusqu’ici, ne sourcillait pas pour lancer son ashi-guruma et le prolonger en uchi-mata pour assurer l’impact. Elle est la première à atteindre les huitièmes de finale aujourd’hui.
Arrivée en bordure avec son opposante brésilienne Jessia Pereira, la Kosovare Distria Krasniqi, qui n’a jamais atteint la finale mondiale jusqu’ici, ne sourcillait pas pour lancer son ashi-guruma et le prolonger en uchi-mata pour assurer l’impact. Elle est la première à atteindre les huitièmes de finale aujourd’hui.
12h40. -66kg : Khyar en mode costaud
Juste après le succès du double champion olympique Hifumi Abe au détriment de l’Italien Elios Manzi, c’était au tour du tricolore de fouler les tatamis hongrois. Armé de sa combativité habituelle, il prenait bien soin de contrôler la manche du Mongol Battogtokh, incapable de développer son judo tout au long du duel qui s’achevait logiquement sur une troisième sanction – tombée assez vite à dire vrai – qui envoyait le Parisien au tour suivant face à l’Américain Berliner, habile sur juji-gatame pour mater le Bulgare Yotov. Rien d’insurmontable sur la route des quarts pour Khyar.
Juste après le succès du double champion olympique Hifumi Abe au détriment de l’Italien Elios Manzi, c’était au tour du tricolore de fouler les tatamis hongrois. Armé de sa combativité habituelle, il prenait bien soin de contrôler la manche du Mongol Battogtokh, incapable de développer son judo tout au long du duel qui s’achevait logiquement sur une troisième sanction – tombée assez vite à dire vrai – qui envoyait le Parisien au tour suivant face à l’Américain Berliner, habile sur juji-gatame pour mater le Bulgare Yotov. Rien d’insurmontable sur la route des quarts pour Khyar.
12h20. -66kg : Takeoka n’est pas là pour plaisanter…
Un premier grand fauchage redoublé pour marquer waza-ari, puis un compact tani-otoshi pour conclure l’affaire et voilà le vice champion du monde 2024, vaincu à Abou Dhabi par son compatriote Ryoma Tanaka, lancé dans ces mondiaux 2025. Walide Khyar à venir sur le tapis 1 dans quelques instants, face au Mongol Erkhembayar Battogtokh, champion d’Asie 2024 et septième l’an dernier aux Émirats. Il s’agira de la troisième confrontation entre les deux hommes, les deux premières ayant été remportées par l’homme des steppes.
12h15. -52kg : Le dernier mot pour Leiva Sanchez
Duel intense entre la Néerlandaise Naomi Van Krevel, médaillé de bronze continentale fin avril à Podgorica, et l’Espagnole d’origine cubaine Ayumi Leiva Sanchez, seule athlète du circuit à quatre podiums (deux médailles d’argent et deux de bronze) en Grand Chelem en 2025, qui s’étira sur plus de sept minutes jusqu’au très rotatif o-uchi-gari de la protégée de Sugoi Uriarte à Valence, à deux doigts de la sortie sur un contre quelques séquences plus tôt.
12h. -66kg : Emomali et Margvelashvili ont le mojo
Le Tadjik, actuel numéro un mondial, n’aura eu besoin que de deux minutes pour dominer l’Espagnol Nieto Chinarro, qui avait au préalable pris le meilleur sur un Turkmène d’un joli kata-guruma. Changement de direction avec une forte saisie à la ceinture et le voilà embarqué par la hanche d’Emomali, cinquième l’an passé et bien décidé à rectifier le tir ce samedi. Ça passe également pour le Géorgien Vazha Margvelashvili, finaliste olympique à Tokyo et double médaillé de bronze mondial, qui contrait le Mongol Bashkuu Yondonperenlei, lui aussi trentenaire et par deux fois primé aux mondiaux.
Le Tadjik, actuel numéro un mondial, n’aura eu besoin que de deux minutes pour dominer l’Espagnol Nieto Chinarro, qui avait au préalable pris le meilleur sur un Turkmène d’un joli kata-guruma. Changement de direction avec une forte saisie à la ceinture et le voilà embarqué par la hanche d’Emomali, cinquième l’an passé et bien décidé à rectifier le tir ce samedi. Ça passe également pour le Géorgien Vazha Margvelashvili, finaliste olympique à Tokyo et double médaillé de bronze mondial, qui contrait le Mongol Bashkuu Yondonperenlei, lui aussi trentenaire et par deux fois primé aux mondiaux.
11h30. -66kg : La première mèche pour Pongracz
En attendant l’entrée des cadors, c’est le local Bence Pongracz, médaillé européen l’an dernier, qui assure le spectacle en éparpillant le Chinois Haiyang Zhang d’un sublime tai-otoshi en moins d’une minute. Après les deux premiers Magyars classés hier en -60kg, Pongracz peut-il être la surprise du jour? Son prochain combat contre le Russe Chopanov, vice champion d’Europe cette année derrière Bouba, constituera un bon révélateur…
En attendant l’entrée des cadors, c’est le local Bence Pongracz, médaillé européen l’an dernier, qui assure le spectacle en éparpillant le Chinois Haiyang Zhang d’un sublime tai-otoshi en moins d’une minute. Après les deux premiers Magyars classés hier en -60kg, Pongracz peut-il être la surprise du jour? Son prochain combat contre le Russe Chopanov, vice champion d’Europe cette année derrière Bouba, constituera un bon révélateur…